Cabine de cryothérapie azote ou mono-chambre électrique ?

Nous sommes les seuls en France à disposer les deux technologies : azote et électrique. Celles-ci correspondent surtout à des besoins différents, en termes de volume d’activité, de rapidité de mise en œuvre. Les cabines azote sont les premières commercialisées et ont fait leurs preuves dans le domaine sportif et du bien-être. Les mono-chambres électriques sont nouvelles sur le marché de la cryothérapie. La cabine azote procure des sessions de cryothérapie corps partiel, vous avez la tête à l’extérieure de la cabine, cela rassure les utilisateurs. Il est vrai que le ressenti dans une mono-chambre électrique est plus intense que dans une cabine corps partiel. Cela est dut au fait d’avoir la tête à l’intérieur de la cabine. Le système central de notre corps est mis en alerte et envoie des signaux a notre corps pour se protéger du froid d’où cette sensation plus intense. Si les protocoles de cryothérapie (azote ou électrique) sont relativement simples à élaborer (température, temps de traitement, fréquence des séances), ils suivent des règles de base absolument incontournables.
cryoevo

La première des règles incontournables : rechercher la meilleure qualité de choc thermique. Cela sera automatique dans une chambre électrique car l’entrée dans la chambre se fera forcément avec une température de pré-refroidissement à -110°. (Nous écartons volontairement de notre discours les mono-chambres -90° car ce sont des outils développés dans une démarche purement marketing et destinés à produire un effet de gamme. Ces mono-chambres ne sont pas en accord avec le consensus de BAD VOSLAU (2006) définissant la zone d’efficacité thérapeutique de la cryothérapie corps entier dans une fourchette de températures entre -100 et -140°.)

Dans le cas d’une cabine azote, chaque traitement ne devrait être réalisé qu’avec l’assurance que, lorsque le patient pénètre dans la cabine, celle-ci aura été pré- refroidie à -110°, afin qu’il subisse un vrai choc thermique.
Malheureusement, certains opérateurs peu scrupuleux et équipés de cabines, gourmande en consommation, vont privilégier une démarche d’économie de l’azote au détriment de la qualité du choc thermique et de la qualité des sessions.

Ces opérateurs ont tendance à faire pénétrer les candidats dans une cabine qui n’aura pas été suffisamment refroidie, voir même sans aucun pré-refroidissement.

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